Le trophée de la Coupe du Monde ne trônera finalement pas à Yaoundé comme annoncé par Samuel Eto’o, le président de la Fecafoot et Rigobert Song, son ami et entraîneur des lions indomptables.
Tous les ingrédients étaient pourtant réunis par les concernés pour ramener cette fameuse coupe au pays avec notamment le recrutement de conseillers étrangers, Song n’était là que pour miroiter le slogan du coach local et ne s’occupait exclusivement que de son look vestimentaire.
Les sorciers-marabouts, locaux cette fois, tapis dans l’ombre, bien en retrait, étaient aussi de la partie mais ont lamentablement échoué.
Leur ombre a plané durant le duel et d’aucuns n’ont pas manqué d’y déceler leur influence au regard de la pléthore de buts manqués par le Brésil et annihilés acrobatiquement par la doublure du gardien titulaire de l’équipe camerounaise.
Retour donc sur la terre ferme pour les camerounais, certainement abattus mais toujours confiants en l’avenir.
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