L’UGTA n’a pas réussi a drainer les grandes foules, tout juste un millier, rameuté par bus à partir des wilayas limitrophes, renforcé par les travailleurs du port et des éléments des services de sécurité en civil.
Une marche, plutôt une course, point de départ le siège de l’UGTA, sous les incessants quolibets des riverains à partir des balcons et des « hirakistes » le long des trottoirs. 
Ils étaient pressés d’en finir, ces « cachiristes », impatients de récupérer leurs casse-croûte cachir dans les bus, une quarantaine, stationnés au alentour du siège de la centrale syndicale.

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