Ainsi après avoir boycotté la présidentielle du 12 décembre dernier en faisant semblant d’être en phase avec le Hirak, Djaballah s’est trahi vite en dénigrant le même mouvement pour plaire, visiblement, au pouvoir en place. « Je suis prêt à rencontre Tebboune et je répondrai favorablement à son invitation s’il nous invite. Nous sommes pour un dialogue responsable et globale durant lequel nous entendrons les propositions du pouvoir et nous lui soumettrons notre position », soutient le patron du FJD, dans une déclaration à un média arabophone.
Ce dernier affiche aussi sa disponibilité à présenter les propositions de sa formation concernant la révision de la Constitution. Avant cette nouvelle sortie, cet islamiste radical qui n’arrive pas à se départir des anciens réflexes de ses semblables depuis le début des années 1990, a préparé déjà le terrain en s’attaquant au mouvement populaire dans un récent post sur sa page Facebook.