Toujours selon certains médias canadiens, l’infiltration du coronavirus en Chine a eu lieu à l’occasion des jeux militaires mondiaux, organisés à la fin du mois d’octobre 2019 à Wuhan. Des soldats américains contaminés ont transplanté le virus en Chine. Quelques semaines après, le virus a commencé à se propager à Wuhan. En dépit de quelques négligences d’appréciation sur la véracité de l’existence du virus, signalée par quelques médecins de la ville de Wuhan, les autorités chinoises ont néanmoins très rapidement mesuré la gravité du problème sanitaire. Aussitôt des mesures d’endiguement du coronavirus ont été massivement entreprises par les autorités chinoises, notamment par la politique de confinement drastique opérée dans les régions exposées à la pandémie.
En revanche, jusqu’à aujourd’hui, les Etats-Unis n’ont procédé à aucune campagne de tests de dépistage sur leur population. Au reste, le test est payant. Certains Américains, de retour de l’étranger, contraints de se soumettre au dépistage, ont dû s’acquitter de la somme de 3 500 dollars pour le règlement du test.
A la lecture de la vidéo du directeur des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) devant le Congrès, on constate que les autorités américaines étaient informées depuis longtemps de l’existence du coronavirus. Tout se passe comme si les dirigeants américains ont délibérément observé un blackout. Quoi qu’il en soit, ce silence éloquent laisse perplexe. Ainsi, on découvre que, si l’intention de nuire (via la guerre bactériologique) n’était pas préméditée, la volonté de déstabilisation politique mais, surtout, économique est manifeste.
A cet égard, pour appuyer cette information sur la «paternité» américaine de l’épicentre du foyer de la pandémie du Covid-19, implantée depuis plusieurs mois sur le territoire étasunien, BFM-TV (chaîne d’information en continu atlantiste par excellence) a indiqué que, pour le seul Etat américain de l’Ohio, on dénombre pas moins de 100 000 cas réels de personnes infectées au coronavirus, avec une prévalence du virus de l’ordre de 1% au sein de la population, soit une prévalence près de 200 fois plus élevée que celle enregistrée en Chine au plus fort de l’épidémie. Lors d’une conférence de presse tenue le 12 mars 2020, la directrice du département de la Santé de l’Ohio, Amy Acton, a déclaré que l’Etat enregistrait des cas de transmissions «communautaires» du virus, c’est-à-dire localement au sein de la population, et non via des personnes ayant voyagé dans des zones infectées. «D’après ce que nous savons de comment fonctionne la transmission communautaire, au minimum 1% de notre population est porteuse du virus dans l’Ohio aujourd’hui», a déclaré Amy Acton. «Nous avons 11,7 millions d’habitants. Donc en faisant le calcul cela fait 100 000. Cela vous donne une idée de la manière dont le virus se propage, et se propage rapidement», a-t-elle ajouté.